Un véhicule, un smartphone et du temps précieux gagné par les conducteurs. KazaKar encourage le réflexe communautaire via son service de stationnement collaboratif. Une dynamique est lancée et elle ne demande qu’à prendre de l’ampleur. Le genre de bonne nouvelle qui pousse You Make Me Share à vous présenter cette nouvelle plateforme de la semaine.
Tourner en rond de longues minutes alors que l’on est attendu pour un dîner entre amis fait monter d’un seul coup l’énervement et la frustration. A l’inverse, l’économie collaborative a simplifié la vie de nombreux de ses utilisateurs réguliers. Voilà pourquoi la mayonnaise prend avec KazaKar, qui propose à l’aide d’une application mobile une petite révolution pour le stationnement. Celui-ci se retrouve animé par le circuit collaboratif et rend un grand service à toutes les personnes qui tentent l’expérience… et la répètent en ayant le bon réflexe.
Avec Kazakar, on trouve plus facilement une place de parking puisque les membres de la communauté se connectent et indiquent quand ils vont libérer un emplacement. Ce départ signalé permet au système de calculer le temps qu’il faudra à l’utilisateur pour retourner à son véhicule et d’aussi indiquer aux conducteurs où se trouve le Graal. Cela empêche ainsi de tourner en rond une heure au pied d’un immeuble. Vous saurez à quel moment une place va se libérer, dans un rayon proche.
Kazakar, une histoire de bons réflexes collaboratifs
Histoire d’encourager le réflexe Kazakar, l’automobiliste peut activer la fonction nommée « bip de rappel. » On programme son heure de départ pour ensuite recevoir une notification visant à relancer la boucle et à aider les autres usagers. Le principe de Kazakar ne concerne pas seulement les voitures. Il s’étend aux scooters et véhicules de grande taille. Le but est d’utiliser l’effet communautaire pour que soient connues toutes les informations importantes de chaque quartier en ce qui concerne le stationnement.
L’équipe de Kazakar ne s’est pas limitée à la simple alerte parking ni au bip de rappel. On peut ainsi savoir où se situe l’horodateur le plus proche du véhicule et les parkings dans le coin, programmer un minuteur par rapport au parcmètre, signaler les enlèvements et… retrouver sa voiture. Toujours bien pratique, que l’on soit tête en l’air ou non. Le klaxon souffle un bon coup et le conducteur sourit.
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